LA COMÉDIE SAUVAGEONNE
Petite présentaiton des habitants des Hauts Jardins : écureuils, pinsons des arbres, hérissions, verdiers d’Europe, bouvreuils, chardonnerets élégants, pics épeiches, etc…
Chaque jour ils nous faisaient un véritable festival de la vie sauvage. Quoi de plus amusant que d’être spectateur de cette comédie sauvageonne où les acteurs ne manquent jamais de nous surprendre et de nous divertir ?
Mais La haie qui abritait cette faune si vivante a été coupée, laissant place à un vide oppressant. Avec elle sont parties toutes ces créatures qui faisaient le charme et la richesse de nos jardins. La tristesse s’est abattue comme un voile sombre, car ce n’est pas seulement une haie qui a disparu, mais tout un écosystème, tout un microcosme de vie qui s’est évanoui. Plus de bruissements joyeux, plus de chants mélodieux, juste le silence pesant de l’absence. C’est une perte profonde, une blessure à l’âme de nos jardins, et notre cœur saigne de cette disparition. Car il n’y a rien de plus triste que de voir la nature être déracinée, que de perdre ce lien précieux avec le monde sauvage qui nous entoure.